habitant de rio de janeiro
NOMBRE DE MESSAGE : 58
PSEUDONYME : Sealey Owen Hunter
VILLE NATALE : brooklyn
|  Sujet: Sealey ✞L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.  Dim 4 Nov - 0:56 | |
| Sealey Owen Hunter FEAT. JOSH BEECH  Je me présente, je m'appelle Owen. J'ai pointé le bout de mon nez le deux avril mille neuf cent nonante à Brooklyn, ce qui fait de moi unAméricain. Et oui, je suis homme parmi d'autres! Aujourd'hui ça me fait vingt deux ans ans! Et oui, le temps passez vite, que voulez-vous?! Je suis actuellement célibataire, et si vous voulez tout savoir, je suis même hétérosexuel, bien que j'ai failli être bi à un moment, tellement les femmes me désespéraient.. Je suis actuellement étudiant en littérature et écriture et ça me plait de faire ça! Ça va maintenant faire 6 jours que j'ai débarqué à Rio. J'avais tout simplement envie changer d'air. Je suis quelqu'un d'intelligent, beau, mais aussi sournois, manipulateur et solitaire. N'oublions pas que personne n'est parfait et qu'on ne peut pas plaire à tout le monde! C'est bien pour ça que je fais partie du groupe des "middle fingers". |
personnalité ❧ On peut dire que je suis comme le quartier de Brooklyn, détesté par pas mal de monde. En plus d'être exécrable, je ne suis pas quelqu'un de fiable, je peux être hypocrite. Enfin disons que c'est plus une manière pour moi de manipuler les gens pour arriver à mes fins. J'ai une allure rebelle. Je suis rebelle. Je n'ai jamais aimé suivre les règles. D'ailleurs, c'est moi qui fais les règles. OK, ça ne se voit pas forcément toujours, mais c'est le cas. Sinon, on peut dire que je suis beau gosse. On ne va pas se mentir. Je ne vais pas vous faire le pitch du ''non je suis moche, allez dites moi que je suis beau sisi tmtc bestàh'' hors de question. Je suis beau gosse. Enfin après tout, la beauté est quelque chose de suggestif. Je ne suis pas un grand bagarreur comme j'en ai l'air.. Je suis assez posé, calme. Je préfère me foutre des gens en les faisant espérer. Mais lorsqu'on en arrive aux sentiments.. je préfère tout arrêter car même si il ne se voit pas, j'ai un coeur sous cette carapace de gros dur. Et lorsque j'ai des sentiments pour quelqu'un, je suis capable de faire beaucoup de choses. Sinon à part ça, je peux être drôle de temps en temps. J'ai un humour ironique. Au cas où vous ne l'auriez pas deviné. Si on devait parler de mes qualités.. même si je doute fort que j'en aie beaucoup, je dirais que je peux sourire de temps en temps. C'est tout. Ah, et j'ai aussi ce 'truc' dont les filles raffolent, ce ''mouvement'' que je fais avec mes sourcils accompagné d'un sourire en coin. Les gays aussi aiment mais ça, ça me plaît moi dira-t-on, étant donné que je suis 100% hétéro. Hétérosexuel, oui, mais pas homophobe, attention aux mauvaises langues. Et si tu veux en savoir plus, apprends à me connaître, bitch, ce n'est pas moi qui ferait le premier pas. |
ACTE I
Si je vous ai parlé de Brooklyn, c'est parce que je suis né là-bas. Enfin, on ne peut pas dire que je connaisse bien ce quartier étant donné que j'ai déménagé plus de fois que je ne peux le dire.
Je suis passé par toute l'Amérique populaire. Miami, New York, Las Vegas, Los Angeles. J'ai rendu visite à de nombreuses destinations adorées de tout le monde à commencer par malibu. En clair, je suis un nomade. Je n'ai jamais été en Europe. Je réserve les endroits de l'Europe à ma future petite amie. Enfin, une que j'aimerais réellement, pas ces filles avec qui j'ai couché pour le fun autrefois étant complètement bourré, c'est à dire me retrouvant sur le toit d'une maison de flics par exemple.
Haha, les flics. Eux me connaissent bien, on peut dire qu'à force d'aller les voir pour x ou y raisons, j'en pris l'habitude. J'ai fait tellement de conneries. Attention, ça ne veut pas dire que je me range, mais je me calme. Les conneries que je faisais étaient immatures, non réfléchies. Des conneries d'ado pré-pubère, comme lancer des pétards en cours, des boules puantes dans les pantalons des profs, baisser ceux-ci en pleine classe, sécher les cours. Enfin vous voyez le truc. Mais ma principale connerie c'était répondre au professeur. Disons que je déteste cacher ma liberté de pensée. Quand j'ai quelque chose à dire, je le dis. Il est hors de question de laisser places aux ''bonnes manières'' dans ce genre de circonstances. Bien évidemment, j'attends avant de dire n'importe quoi, ce n'est pas comme si je faisais remarquer ses erreurs à un étudiant de littérature. En général quand je l'ouvre, c'est pour dire quelque chose de sensé. Même si ce mot apparaît rarement dans ma façon d'être. 'sensé'. J'ai une liberté de pensée sans limite. Et je pense que tout le monde devrait en avoir une.
À l'école, et même ailleurs, je n'ai jamais eu beaucoup d'amis. J'étais quelqu'un qui restait souvent seul. Je n'étais pas déprimé. Juste.. seul. Dans la cour de l'école j'écoutais de la musique sur un banc. Je me faufilais parfois à travers le grillage pour aller voir ma petite amie de l'époque. Amanda. Ce fût mon premier amour. Mais je ne pense pas qu'il était sincère. C'était plus une fille avec qui je flirtais. On s'amusait bien, mais elle me trompait sans arrêt et pensait que je ne le savais pas. A vrai dire je m'en fichais pas mal. L'important c'était qu'elle embrasse bien. Et... qu'elle fasse bien l'amour aussi, vous vous en doutez bien. Depuis elle, mes seules amours furent des histoires de quelques semaines grand maximum. Il faut dire qu'Amanda avait occupé 3 ans de ma vie. De mes treize à seize ans. Elle était plus âgée, de trois ans. Elle était belle, plutôt moyenne niveau poids et taille. Elle avait des formes, juste où il fallait. Elle avait un petit ventre, elle n'était pas mince/maigre. Mais j'aimais bien. Et j'aime toujours bien. Elle avait les cheveux blonds, avec les pointes colorées en bleu ou en rose, ça dépendait. Des fois elle variait et faisait du vert, du mauve.. Du rouge également. C'était joli. Ses cheveux n'étaient pas très longs, elle les avait mi-longs. Mais enfin bref, parlons d'autre chose, sinon, j'en aurais la larme à l'oeil. Pas de regret, de souvenirs. Et me souvenir de l'école c'est une chose que plus jamais je ne veux à avoir à faire. Non pas que j'étais mauvais, j'étais même très doué. Mon QI est de 139, ce qui est relativement bien. Donc si on rajoute le travail et l'étude, on obtient de bons résultats scolaires. Non non, la raison pour laquelle je ne veux pas me souvenir de l'école, je ne la connais même pas, peut-être que ça me fait mal, au fond. (mais alors vraiment au fond) de mon coeur. Je me sers de l'excuse ''c'est du passé'' pour ne pas à avoir à me justifier quand je dis que je ne veux pas me souvenir de l'école...
ACTE II
Parfois, vivre sans parents c'est dur. Ça peut faire mal. Ça heurte. Quand je vois tous ces pères qui vont chercher leurs enfants à la garderie. Toutes ces mères qui accouchent à l'hôpital. Quand je vois à la télé, dans les journaux, sur internet, ou même dans la vie réelle, toutes ces familles qui cachent leurs petits secrets, là, je me sens vide. Sans identité. Tout ce que je connais de ma vie c'est mon nom de famille 'Hunter'. Non mais laissez moi rire. Dès mon plus jeune âge, je me suis retrouvé à vagabonder, à passer d'une famille d'accueil à l'autre. Jamais je n'ai eu à appeler une femme 'maman' et un homme 'papa' c'est si... inconnu pour moi. Les familles d'accueil ne voulaient pas de moi, certaines pensaient que j'étais fou, d'autres en avaient marre de mon comportement, de mes bêtises, que tous les soirs je rentre avec un policier comme accompagnateur. C'est compréhensible...... En fait non. Ça ne l'est pas. Quand on aime vraiment, on peut pardonner. Et dire que c'est MOI qui dit ça... Enfin bref. Ma première fugue (oui car il y en a eu plus d'une) c'était à mes sept ans. Quand j'ai compris que mes parents n'étaient pas mes parents justement. Je l'ai compris seul. J'avais un frère dans cette famille d'accueil. Il était du genre enfant modèle. Et me détestait. Car j'avais des meilleurs points que lui. Il me menait la vie dure à la maison en trouvant n'importe quoi pour me rabaisser. Ça ne marchait pas, enfin du moins à court terme. Mais à la longue, j'en étais lassé.
J'eus donc l'idée de partir, avec mes économies. J'avais beaucoup.. beaucoup d'argent. Je gagnais de l'argent de poche par mes faux-parents, je faisais des paris avec mon faux-frère, avec mes faux-amis. Et un jour, alors que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mes faux-parents ne me virent pas dans mon lit de petit garçon lorsqu'ils vinrent me réveiller. À la place, sur le lit se trouvait un mot, s'adressant aux trois membres de cette famille, le faux-frère, et les faux-parents. Sur ce papier rédigé la veille, il était écrit précisément ceci ;
Je m'en vais. J'ai tout compris à votre petit jeu, et je ne veux plus y jouer. Comment avez-vous pu me faire passer pour votre enfant ? On ne se ressemble pas, jamais je n'aurais pu vous manipuler ainsi. Je ne suis pas dupe. Arrêtez. Et n'essayez pas de me retrouver, je pars loin, dans un endroit où les flics ne sauront pas me trouver cette fois. Je suis désolé de vous infliger cette peine, mais vous me le devez bien. Nous resterons toujours en contact un jour, si vous le souhaitez.. Vous savez qui je suis. Sealey vous dit au revoir. Owen aussi. Monsieur Hunter est parti.
Au revoir, je vous aime quand même malgré tout.
Je le sais parce que j'en avais fait une copie, histoire de m'en souvenir. Et depuis, ce mot traîne dans mon porte-feuilles.
J'étais parti en avion. Ouioui, en avion, à sept ans. J'avais quelqu'un qui partait pour la Floride à ce moment là, quelqu'un qui me devait pas mal de sous avec tous les paris. Et il avait dix-huit ans, il me faisait passer pour son petit frère, avec des faux papiers d'identité. Je n'avais rien à perdre, tout ce que je voulais c'était partir. Fuir. Comme un lâche. Mais je n'avais que sept ans et aucune envie d'affronter ça tout seul. Et c'est ce que je ne fis pas, j'étais parti pour la Floride. Quittant brooklyn dont je ne connaissais quasiment rien, seulement l'école, et ma maison. Je me souviens encore l'excitation que j'avais lorsque j'étais dans l'avion et que je voyais les nuages en dessous de nous. Mais le pire c'était lorsque je vis le paysage. Tout était tellement beau. C'était vraiment magnifique. Là commençait ma nouvelle vie. J'eus une assistante sociale à la place d'une famille d'accueil. Mais elle ne s'occupait jamais de moi. On avait une maison, mais elle n'était là que pour apporter à manger. Cela ne me dérangeait aucunement, sachant que je vivais très bien seul.
ACTE III Mais la Floride ne fût qu'une courte partie de ma vie. Après ça, j'eus droit à tellement d'autres parties de l'Amérique. Le Texas notamment, joli endroit. Je menais une vie parfaite. Une vie de nomade. Surtout après mes seize ans. Après Amanda, après le collège, après tellement de choses, je prenais un nouveau départ. J'étais prêt pour une nouvelle vie et je ne rêvais que d'une chose, partir à nouveau, mais cette fois, je ne voulais rien fuir, je voulais juste m'évader. Mais je me concentrais sur mes études car il est vrai que jamais je ne savais ce que je voulais faire plus tard. Je me tâtais longuement entre la littérature, l'écriture, l'économie, les mathématiques, la physique... Tellement de choses qui me tentaient. Et je ne pouvais pas me baser sur mes notes pour choisir car, sans me venter, elles étaient toutes excellentes ! Des 18, 19, 17.. rares étaient les 16. Ma pire note fût un 11. En gym. Et uniquement parce que je n'étais jamais là en cours, je ne faisais que sécher. Je préférais prendre des cours en dehors de l'école, aller dans des salles de sports, de musculation. Au final, je n'ai pas eu un passé si difficile que les gens le pensent. C'est aussi pour cette raison que je ne parle que rarement aux autres, car je sais quel sera leur jugement sur ma vie. Quel sera leur regard lorsque je leur raconterai en détails toutes les étapes de ce que j'ai vécu. Ils prendront cet air triste, désolé, cet air que l'on a lorsqu'on apprend que le chien de votre ami est mort, écrasé, sous un bus. Un bus jaune. Ou vert, je m'en fiche. Ils prendront ce regard, limite la larme à l'oeil. Quoi de plus hypocrite ? Tu es triste quand tu apprends que la personne est blessée par son histoire, pas quand tu sais qu'elle ne l'est pas, restons dans un raisonnement correct, voyons ! C'est l'une des principales raisons pour lesquelles jamais je ne parle de ma vie. Parce que l'hypocrisie est une des choses que je déteste le plus au monde, à part les endives, et ça me met hors de moi lorsque quelqu'un te ment sans limite. Et savoir que quelqu'un fera semblant d'être touché par mon histoire me dégoûte profondément. Alors non, mon passé n'était pas triste, puisque je le vis très bien. Je ne parais pas sensible du tout. En réalité, je le suis. Mais je garde mes émotions pour moi. Même si parfois je me demande si nous ne sommes pas plusieurs dans ma tête.. J'ai des réflexions, des pensées, je pense des fois comme si quelqu'un allait me répondre. Je crois que je me pose tout simplement trop de questions. Et parfois, il y a des questions auxquelles on ne répond pas. Je n'ai jamais levé la main sur quelqu'un, parce que je sais gérer mes émotions, je sais rester neutre. En plus, il paraît que ça me rend ''mystérieux'' et que les filles aiment, donc tant mieux. Car même si je suis loin d'être fleur bleue, plaire fait toujours plaisir. Savoir que des gens sont intéressés par le simple fait de vous parler, c'est agréable, même si ça n'arrive que très rarement chez moi. En même temps, je fais tout pour ne pas plaire, et quand je ne le fais pas, ce n'est pas voulu. Mais je sais qu'en amour, je m'étonne moi-même parfois, je peux faire des choses que jamais je ne me serais cru faire. Une fois, j'ai acheté une rose à une fille, pour qu'elle m'accompagne au bal. À vrai dire, c'était juste une amie, et ça l'est resté. Mais je l'avais fait parce que je voulais passer du temps avec elle, et que je préférais passer ce temps à danser avec elle sous des dizaines de musiques, plutôt que de jouer à la playstation, pendant que nous nous empiffrions de pop-corns et pendant que nous parlions du devoir de math qu'il fallait rendre le lendemain. C'était d'ailleurs la seule fois où j'avais dansé. Je n'aime pas danser. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça me rappelle cette soirée. Elle fût finie en dispute, et dix jours après, j'étais parti. J'étais parti à Miami. Sans me retourner. Je n'ai plus jamais entendu parler d'elle. Elle me manquait. Cloé.. Elle me manque toujours. C'est la seule et unique raison pour laquelle je ne danse jamais. Il faudrait vraiment y aller pour que je danse. Mais ça sort du contexte. À vrai dire, dans ma vie, je crois que ces deux filles, Amanda et Cloé, étaient les deux seules personnes à qui j'avais confié des secrets. Les autres, je me servais d'eux. Cloé était ma meilleure amie. Amanda ma petite amie. Et les deux relations se finirent de la même manière ; sans lendemain.
ACTE IV Rio. The history is bein' written
Beginning : 10.29.2012
Ending : never.
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PRÉNOM-PSEUDO ❧ LAURAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA      
VOTRE ÂGE ❧ 15 ans 
POINTS POSITIFS DU FORUM ❧ Bah tout. 
CONNAISSANCE DU FORUM ❧ Je connais d'puis BSE  .
FRÉQUENCE DE CONNEXION ❧ seulement le week-end à cause de l'internat mais je me connecte tous les jours en temps de vacances. 
COMMENTAIRES ❧  |
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